au premier contact de l’
on reproduisait les mots orientaux très
grossièremens
grossièrement
et il en
la création d’un
certain nombre de noms monstrueux
dont quelques uns ont conservé leur place
dans toute
la longueur de l’
Tamerlan,
Gengiscan... etc
Depuis la moitié du 12 siècle les traductions
latines de plusieurs ouvrages
arabes par Pococke
Golius et autres, et un peu plus tard les ouvrages
populaires de Galland et
Herbelot, ont introduit
une orthographe plus exacte,
en reproduisant les mots
arabes avec l’alphabet latin aussi exactement
que la pauvreté comparative de cet alphabet le permettait.
Le point le plus important est l’uniformité dans
l’usage. Mais il est trop tard pour
revenir sur nos pas
le besoin d’une plus grande exactitude s’étant une fois
reveillé
il ne reste plus qu’à aller jusqu’au bout, et à espérer que
l’introduction d’un système, évidemment meilleur que les
autres,
rétablira cette unité d’avis dont nous sommes si
éloignés aujourd’hui.